Canada, Trudeau largué par son Parti Libéral / Effondrements dans les sondages, Conservateurs +26% : Gouvernement dans la balance

Canada, Trudeau largué par son Parti Libéral / Effondrements dans les sondages, Conservateurs +26% : Gouvernement dans la balance
Canada, Trudeau largué par son Parti Libéral / Effondrements dans les sondages, Conservateurs +26% : Gouvernement dans la balance

TOUT LE MONDE ATTEND TRUDEAU MAIS MAINTENANT MÊME LES LIBÉRAUX LE LÂCHENT…

Justin Trudeau c’est (pour l’instant) le Président du Canada mais cela ne durera peut-être pas longtemps après, même dans le cadre du son parti la défiance générale semble désormais irrécupérable : par les dirigeants du caucus Ontario jusqu’à Québecy compris ceux deatlantiquele Parti libéral s’éloigne désormais de plus en plus de son leader après les difficultés considérables concernant toutes les dernières réformes bloquées au Parlement. De la Polémique ferroviaire sur le CNR et le Canadien Kansas Citytout le monde controverse sur la loi sur l’euthanasiejusqu’à ce que la manœuvre budgétaire atteigne le relations tendues avec les Etats-Unis du prochain président Donald Trumple leadership de Trudeau est de plus en plus en jeu.



Après que le Nouveau Parti démocratique du Canada de Jagmeet Singh a quitté le gouvernement le 5 septembrela crise est désormais plastique et il n’y a pas eu d’améliorations claires demandées même par les courants internes des libéraux : surtout, le Le député libéral Rob Oliphant a publié une lettre ouverte au Premier ministre pour demander sa démissionlaissant la place à un nouveau leader «élu au terme d’un concours à la direction solide et ouvert». En vacances en ces chaudes journées de conflits internes au sein de son parti, Trudeau est appelé à prendre une décision imminente d’ici la semaine prochaine, ou en tout cas avant l’entrée en fonction de Trump à la Maison Blanche. Réclamations américaines sur le Canada ils exercent une pression supplémentaire sur un gouvernement solide et fort, exactement le contraire de ce qui se passe à Ottawa depuis des mois maintenant. Pas seulement une crise politique inflationles incertitudes concernant les tarifs douaniers et les divisions avec les minorités « autochtones » sont parmi les raisons pour lesquelles la confiance dans le double Premier ministre Trudeau s’est effondrée à son plus bas niveau.



CE QUI SE PASSE AU CANADA : LES DERNIERS SONDAGES CHOCENT POUR TRUDEAU DE PLUS EN PLUS VERS LA DÉMISSION. LE RÉBUS DU G7 RESTE

Dans les derniers enquêtes publiées après le Nouvel An 2025 par Nanos Research pour les médias au Canada, le Le Parti conservateur de Pierre Poilievre il actuellement vole dans le consensus national avec presque 50% des préférences, doublant plus que les formations gouvernementales jusqu’en septembre dernier. En fait, les sondages donnent le Conservateurs à 47%, tandis qu’à une distance sidérale restent les Les libéraux de Trudeau au 21%, juste devant le Le centre-gauche de Singh avec le 17%. Avec des élections anticipées de plus en plus imminentes, 2025 est tout sauf de bon augure pour le Premier ministre canadien : au-delà de l’avance de 26 points des conservateurs, c’est la crise interne du Parti libéral qui voit Trudeau de plus en plus isolé, même parmi les siens.



Les choses ne vont pas mieux pour Singh qui espérait aussi en se retirant du gouvernement retrouver un consensus en vue des élections politiques : selon les sondages Nanos, la victoire est entre les mains de Poilievre et il est peu probable que les libéraux puissent réintégrer le conflit, tout comme le NPD de gauche. Les Canadiens veulent des réponses non seulement sur la stratégie que le Canada envisage pour gérer lecrise potentielle avec les États-Unis de Donald Trumpmais aussi – certifie l’enquête nationale au Canada – «sur notre stratégie en tant que pays pour créer des emplois et renforcer notre économie». Au pouvoir de manière quasi continue depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Parti libéral pourrait bien être à la veille d’une chute tonitruante au profit du centre-droit national. Dans tout cela, le faire bouillir le G7 le 1er janvier 2025 étant déclenché l’année de la présidence canadienne, hérité de l’Italie de Giorgia Meloni: même s’il ne s’agit pas d’une loi « écrite », la stabilité politique d’un pays impliqué dans la direction des 7 « grands du monde » est tout à fait vitale. Le pari de Trudeau était de rester en selle, entre le gouvernement sortant et la période électorale, pour toute l’année 2025 mais l’accélération de la crise ces derniers jours risque de voir le rêve de « grandeur » anéanti Premier ministre du fils prodigue de la politique internationale.

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